Poudlard VS Nautilia

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 Lain [Question de priorités...]

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Lain Liners
Préfet(e) en Chef
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Lain Liners


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Date d'inscription : 24/10/2014
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Lain [Question de priorités...] Empty
MessageSujet: Lain [Question de priorités...]   Lain [Question de priorités...] EmptyDim 26 Oct - 18:08


Présentation de Lain


Vous...



Nom :  O’Leary (Nom de parents adoptifs)
Prénom : Lain
Surnom :  /
Date de naissance :  14 Janvier 2005 (17 ans)
Origine : Sang-pur (Mais ne le sait pas)
Nationalité : Irlandaise
Baguette : 29,6cm, bois de saule, avec une plume de Jobarbille
Don particulier : Très forte légilimencie.



Votre famille...



Votre père : Adoptif : Ronan O’Leary était un homme stable et un bon père de famille, deux vertus qui se sont perdues après l'accident qui a tué son fils (Et le sortilège qui a saccagé sa mémoire afin de le lui faire croire.) Maintenant, l'homme abuse de la bouteille, sans que cela ne l'ait pour le moment rendu violent envers sa femme ou sa fille. C'est un homme brisé, et qui se cherche une raison de vivre, sans la trouver auprès de sa famille.

Biologique : William Liners - Voir la fiche de Terry.

Votre mère :  Adoptive : Eireen O’Leary était une femme douce et enthousiaste. Elle aimait passionnément son métier et sa petite vie tranquille. Maintenant, elle n'est plus que l'ombre d'elle même, effrayée par la guerre et la sorcellerie. Ses peurs la rongent et l'assombrissent jour après jour.

Biologique : Lila Liners - Voir la fiche de Terry.

Vos frères et soeurs : Elle a deux frères dont un demi) mais n’en connait aucun. (Terry et Josh Liners)

Vos oncles et tantes : Line Smith - Voir la fiche de Josh.

Vos grand-mères : (facultatif)  /

Vos grand-pères : (facultatif)  /

Autre : (facultatif) Folial le jobarbille. Il est un peu dingue, très maladroit, plutôt mignon et il s’est attaché à la jeune fille, allez savoir pourquoi. Il la suit quasiment partout.







Votre histoire...

20 lignes minimum !


Ronan et Eireen O’Leary avaient entamé des procédures d’adoption l’année suivant leur mariage. 3 mois plus tard seulement ils étaient les heureux parents d’une toute petite fille et d’un jeune garçon, tous deux frère et sœur… Cependant, ils avaient triché. Et lorsqu’on triche de cette façon pour forcer sa chance, souvent cela finit par nous retourner en pleine figure comme un boomerang.

Lain et son frère eurent une enfance agréablement banale. Petite déjà elle était passionnée par les plantes et les fleurs, leur odeur déjà hypnotisait ses sens de petite fille, en ça elle avait la chance de profiter du savoir d’Eireen, une herboriste moldue pleine d’entrain et qui couvrait ses enfants d’interminables laïus sur les fleurs et leurs vertus diverses. Parfaitement ennuyeuses au garçon, ses allocutions sans fins émerveillaient la petite fille, la confortant dans sa passion naissante pour la botanique.

Oui, une enfance parfaitement commune jusqu'à l’accident. Un accident de voiture tout aussi banal, mais dont les conséquences changèrent en tout point la vie de cette sympathique famille.

Au réveil d’un coma de quelques semaines à l’hôpital privé de Galvia à Galway, Lain apprit deux nouvelles : La première étant que sa moelle épinière avait été compressée par le choc et qu’on en ignorait les séquelles à long termes, et la seconde que son grand frère âgé seulement de 10 ans était décédé dans l’accident. Du haut de ses 7 ans elle n’avait pas voulu comprendre… Et, probablement aidée par ces semaines de coma aux promesses incertaines, elle avait rangé cela tout au fond de sa tête. Là où la souffrance de la perte se mêlait à l’oubli indolore.

Peu de temps après, elle commença à perdre la vue. Les docteurs l’avaient mise en garde gentiment, lui énumérant des solutions qui promettaient un avenir plus ou moins viable. A 9 ans elle ne voyait déjà plus du tout mais avait appris à vivre avec pendant les deux ans ou sa vue avait décliné.

Depuis l’accident, ses parents avaient cessé de s’entendre à merveille pour s’accuser bien trop souvent l’un l’autre de maux divers, souvent des broutilles, parfois non… Et rarement, le sujet de l’accident revenait sur le tapis, mais jamais par contre l’on ne parlait du jeune homme, pour ne pas forcer les souvenirs de la petite.

Durant sa dixième année, les relations avec ses parents s’envenimèrent. Très souvent ils lui répétaient qu’elle ne pouvait pas comprendre cette espèce de descente aux enfers qu’ils semblaient s’imposer à eux même sans entrer dans le détail et cela avait le don de mettre Lain hors d’elle. Ils étaient devenus lunatiques, tantôt trop bienveillants, à lui céder pour un rien et tantôt fermés… Elle rêvait souvent d’eux comme ils étaient avant, parfois s’y mêlait des images de son frère décédé, toujours avec un visage différent. C’était bien ça le pire, cette impression de ne pas se rappeler de son visage ou de sa voix.

Quand elle ne dormait pas, occasionnellement, elle avait l’impression d’entendre ses parents parler, comme si elle les entendait rêver… Et parfois, une tâche colorée venait ponctuer ses pensées, comme une note de musique. Mais c’était toujours si fugace.

Lain poursuivait ses cours dans une école primaire près de chez elle, réfractaire à l’idée d’être traitée comme une pauvre handicapée. Elle ne peinait pas tant que ça pour suivre en cours, mais ne s’intégrait pas vraiment aux autres enfants de sa classe. La plupart étaient effrayés par son handicap et les autres… Par sa franchise. Trop mature pour son âge, la petite s’ennuyait rapidement des peines futiles. Et pourtant, elle était curieuse, intriguée par le monde imparfait des adultes, bien plus que par celui des enfants. Elle l’imaginait paré de mille couleurs violentes, de celles qu’elle rêverait de voir, lassée des pastelles protectrices et des pays imaginaires qu’on offraient aux gosses. Ce qu’elle avait appris en passant à côté de la mort, c’était qu’il fallait profiter, au risque de perturber la petite vie monotone de certains pour y parvenir.

Avant de recevoir cette lettre sur laquelle son prénom s’étalait en courbes fines qu’elle ne verrait jamais, Lain n’avait pas vraiment ressenti de quelconque influx qui lui paraissent plus ou moins magiques. Cependant, les petits picots de braille qui chatouillaient le bout de ses doigts lui affirmaient le contraire, ainsi que son inscription pour septembre au collège d’enseignement magique de Poudlard. Elle pensa d’abord qu’on lui faisait une blague, avec toutes ces histoires qu’on entendait à la télévision, sur l’existence des sorciers et leur nature dangereuse, et apporta la lettre à sa mère qui fondit en larmes des qu’elle commença à la lui lire, rajoutant à la perplexité de Lain qui resta finalement sans bouger. Lorsque son père rentra du travail, ils discutèrent tous trois. Une longue discussion qui ressembla plutôt a un monologue de Ronan, ponctué de mouvements de nervosité, qu’a un véritable dialogue…

La magie allait leur retirer leur fille, de la même manière qu’elle l’avait fait avec leur garçon. Son frère était mort de cette magie et elle, elle leur serait bientôt retirée. Lain ne comprenait pas. Elle avait beau se concentrer sur les galimatias de son père avec autant d’effort que possible, et attendre de ses parents autant de réponse qu’ils venaient de mettre de questions dans sa tête, rien ne vint. Ronan ne faisait que se plaindre et ressasser qu’on lui enlèverait sa fille, pendant qu’Eireen cédait à une panique silencieuse.

Ce n’est que plusieurs jours plus tard, que sa mère vint la trouver dans sa chambre. Lain avait le cou penché sur son violon. Elle pratiquait cet instrument depuis aussi longtemps qu’elle s’en souvienne et les automatismes de ses doigts sur les cordes et du mouvement de l’archet ne l’avaient jamais quittée. La petite accueillit sa mère dans un affreux grincement de crincrin, pour lui signifier le déplaisir qu’elle ressentait de la savoir là. Mais Eireen n’en prit pas ombrage, soupirant seulement en enjoignant sa fille à la rejoindre sur son lit. Lain n’en fit rien, les joues gonflées et le regard levé au ciel. Elle n’était pas obligée de s’asseoir pour entendre. Elle n’était même pas obligée d’être près d’elle. Son ouïe s’était merveilleusement développée depuis qu’elle ne voyait plus.

- Tu as été adoptée, tu sais ?

Non, elle ne le savait pas et l’expression de Lain passa de l’insolence à la surprise. L’archet et le violon retombèrent le long des hanches de la petite fille, qui poussa sur sa lèvre, exprimant sans un mot sa curiosité et son attente.

- Il fallait que je te le dise…

Eireen froissait quelque chose entre ses doigts et le bruit rêche du papier chiffonné attira l’attention de Lain. Des reliquats du contrat d’adoption qu’elle ne verrait pas et que sa mère triturait comme un passe nerfs, pour s’enjoindre à continuer.

- Et ton frère avait… Il avait ce don que tu as. Cette magie en lui… C’est elle qui à causé notre accident… Et sa mort.

Lain respirait lentement, comme si le moindre bruit avait pu tarir le flot des paroles de sa mère, alors qu’elle était si avide d’entendre la vérité.

- Pardonne à ton père. Il ne s’en est jamais remis.

C’était une histoire triste et qui mit un point temporaire aux question de Lain, concernant l’accident. Ils ne lui apprirent jamais la vérité sur son frère, tout simplement parce qu’ils ne s’en souvenaient pas. Leur fils était mort dans cet accident, aussi loin qu’ils s’en souviennent et pourtant… Quelquefois, un lambeau de souvenir venait encore corrompre le coeur brisé de ses parents adoptifs, mais Lain ne leur fut pas enlevée. Du moins pas de la façon qui semblait tant effrayer son père et qu’il tentait parfois d’exprimer sans y parvenir.

***

Ce qu’elle entendait à propos des sorciers la rendait infiniment curieuse. On les disait dangereux. On les disait puissants et elle était l’un des leurs… Par les gênes de parents biologiques dont elle ignorait tout. Ils les avaient fait naître, deux petits sorciers de plusieurs années d’écart et s’étaient débarrassé d’eux, comme ça. Étaient-ils morts ? Est-ce que les anti-sorciers les avait fait disparaître ? Lain cultivait une quantité astronomique de questions sans réponses. Et de questions qu’elle n’osait pas poser en ces temps troubles.

Un émissaire du monde sorcier prit contact avec sa famille, pour tenter de les convaincre par la conciliation, de la laisser étudier dans cette école, qui était faite pour les gens comme elle. C’est Lain qui eut le dernier mot. Elle voulait savoir ce qu’elle était, de quel monde elle venait, souhaitant aussi prendre de la distance avec le cocon étouffant de ses parents. Ils avaient décidé de se complaire dans une image négative de la magie, noyés dans la paranoïa grandissante d’un monde en guerre mais Lain voulait comprendre. Grandir trop vite lui avait donné au moins l’assurance de vouloir faire ses propres choix. Aussi effrayante que soit la perspective de les faire à l’aveugle…

***

L’adaptation ne fut pas une mince affaire. Autant qu’elle dut s’acclimater au monde sorcier, le microcosme sorcier de Poudlard dut s’acclimater à elle. Les aveugles ne courraient pas les rues au collège et malgré la bonne volonté mise en oeuvre à son arrivée, pour lui fournir des manuels en braille et l’accompagner dans sa découverte d’un nouveau monde, la jeune fille eut bien du mal à suivre durant sa première année. Lain n’aimait pas qu’on la prenne par la main, qu’on la materne ou qu’on la traite avec la commisération qu’on servait aux handicapé. Elle voulait apprendre par elle même et malheureusement, ne voulait apprendre que ce qui l’intéressait. L’art des potions l’avait passionnée tout de suite. Ça, les runes et la botanique sorcière… Mais en contrepartie, elle avait un mal fou à se concentrer lorsqu’il s’agissait d’utiliser sa baguette. Remplacer les contacts visuels était un pensum et la jeune fille préférait de loin chercher l’excellence, dans les matières qui la stimulaient.

Elle faisait déjà des efforts surhumains pour s’adapter aux lieux, aux termes, aux gens, aux sons, aux odeurs… A cette ambiance médiévale qui la changeait tellement de ses habitudes et bouleversait tous ses repères, alors si en plus elle devait s’intéresser à… Ce qui ne l’intéressait pas... Des clous ! Elle s’en passerait, et la jeune fille ne fit jamais que le minimum d’efforts dans ces matières qui la laissaient de marbre. A contrario, pour ce qu’elle choisissait, elle se donnait corps et âme.

C’est au cours de sa première année qu’elle rencontra Folial. Sans vraiment comprendre pourquoi, le jobarbille s’était attaché à elle et Lain ne put que supposer qu’il était attiré par la petite plume qui était dans sa baguette.

Ainsi s’écoulèrent les années. Et le temps passant, les images fugaces qu’elle prenait, petite, pour un effet pervers de son imagination revinrent. Mais les livres sorcier surent mettre des mots sur ce qui se passait. La légilimencie… Passionnant. Elle pouvait attraper, tordre, sonder, aliéner, observer, revivre les souvenirs des gens en sons et en lumières, comme si elle voyait a nouveau ! C’était un don fantastique, exacerbé par sa cécité, d’après les médicomages. A un point inconnu. Les sorciers possédaient beaucoup de réponses et provoquaient aussi beaucoup de questions. Des questions dérangeantes qu’elle posait parfois et d’autres qu’elle taisait, parce que c’était plus intelligent de le faire.

Lorsqu’elle rentrait chez elle, pendant les vacances, elle retrouvait l’ombre de ses parents, qui n’avaient plus vraiment d’emprise sur elle. Chez elle, Lain était devenue un électron libre, avec la conviction intime que la sorcellerie les rebutait. Alors tant pis, tant qu’ils ne l’empêchaient pas de faire ce qu’elle voulait, elle tentait de les maintenir dans une ignorance douillette, de tout ce qu’elle pouvait faire ailleurs qu’ici, en espérant qu’ils éviteraient de faire une erreur, comme la balancer aux Dolls... Les petits mensonges de la vie de tous les jours avaient toujours bercé son environnement, les conte pour enfants et les pays imaginaires seraient pour eux. Tout simplement parce que c’était plus simple de rester libre de ses mouvements de cette façon.

Avec un pied de chaque côté de la barrière, Lain avait l’impression d’y voir beaucoup plus clair que pas mal de gens. Elle touchait les deux monde du bout des doigts et elle avait compris que tant qu’elle saurait y trouver ses marques, ce serait un atout. Quel que soit le camp qu’elle décide de choisir.

[Évolution post RP I]

Un jour, Lain avait croisé le chemin d’un garçon étrange. Un garçon qui réussissait à vous retourner le cerveau en quelques interventions. Un garçon qui parlait tout seul… Ou pas. D’après lui, il n’était pas seul et ça… C’était très intriguant. Elle n’avait pas osé le sonder, elle n’en avait pas encore la capacité mais elle avait promis d’être de son côté. Pourquoi ? Parce que… C’était comme ça, et c’était tout. C’était fou et c’était aussi parce qu’il avait fait quelque chose de difficile pour elle : il les avait chassés pour un temps ? Mais qui exactement ? Décidément… Il fallait qu’elle parvienne à le sonder mais voilà, un jour, il avait disparu sans laisser de traces et Lain n’avait parlé à personne de cette amitié particulière, ou peut-être quelques mots à son amie Sile. Ce n’était pas la peine d'en dire plus, c’était à elle et il s’était évanoui dans la nature, lui laissant un goût frustrant d’inachevé. Les rumeurs disaient qu’il avait tenté de mettre fin à ses jours et Lain avait trouvé ça navrant. Aurait-elle pu y faire quelque chose ?

Les années qui suivirent estompèrent légèrement ce souvenir un peu nébuleux d’une nuit passée au théâtre. Lain ne vivait pas dans le passé, elle refusait de le faire. Elle voulait profiter de cette vie autant que possible. Ouvrir son horizon, aussi noirs que s’annoncent les jours à venir dans les deux mondes.

[Évolution post RP II]

Terry était revenu à l'école avec un frère sorti tout droit d'un chapeau, un type de sa maison à elle, sociable, sans qu'elle n'en sache vraiment plus. Il ne lui avait pas adressé un mot... Terry, pas l'autre, et Lain hésitait entre s'en offusquer vraiment ou tout simplement passer l'éponge. Faire comme s'il ne s'était jamais rien passé et continuer d'avancer.

[Évolution post RP III]

Le concierge de Poudlard avait débarqué dans sa vie avec la subtilité d'un tank. Il avait voulu provoquer Sile une fois de trop et s'était prit un retour de bâton. Un coup de croc de Luz, quelques racines qui trainaient et il s'était affalé de tout son long sur Lain. Cet insupportable vantard avec une tonne de sales manies, elle n'allait pas le laisser terroriser sa meilleure amie comme il avait apparemment l'habitude de le faire. Hors de question ! Même si Lain avait l'insupportable impression que son corps désirait murmurer mille et une chose à celui de ce sale coq imbu de lui même, à l'insu de sa raison.

[Évolution post RP IV]

Quelquefois, il pouvait même être charmant. Ou pas... Loff savait se montrer la personne la plus imbuvable de l'univers !! Et la moins ennuyeuse. La plus espiègle et la plus brusque en moins de trois minutes. Le type le plus agaçant du monde, très certainement, à se croire constamment au dessus de tout, à provoquer les gens par ennui et à chercher ses lèvres qu'elle refusait de lui donner, jusqu'au moment où il s'était retiré brusquement en découvrant son don. Soi disant pour la protéger... Et puis quoi encore ? Elle n'allait pas laisser un autre la traiter comme une petite chose fragile à tenir à l'écart de tout. Elle ne le laisserait surtout pas lui, lui faire ça. Encore moins à l'instant où elle avait entrevu bien autre chose en lui que son arrogance démesurée et sa manie de jouer avec les autres.

[Évolution post RP V]

Sile, le béguin pour Terry ? Mais lequel au juste ? Depuis plusieurs semaines, Liners s'était métamorphosé à la vue de tous, constamment au cimetière et plus méprisant que jamais, entouré d'une véritable cours d'abruti(e)s fanatiques à qui il s'adressait comme à des moins que rien. Loff aussi avait changé... De couleur de cheveux, d'yeux, de comportement... Il avait arrêté de la provoquer, de chercher à la rendre dingue en la percutant dans les couloirs et ce n'était pas du tout un soulagement pour Lain. Au contraire, elle avait l'impression de devenir folle, entre son passé qui pétait une durite et la promesse qu'elle s'était faite de l'aider, et son présent aux abonnés absent qui la blessait bien plus qu'elle ne voulait l'admettre.

[Évolution post RP VI]

Ça, c'était vraiment une idée à la con. Rester dehors après le couvre feu, tenter de forcer le concierge à lui faire face et finir entre les mains des Dolls... Heureusement que Sile avait eu le bon réflexe et que Loff en avait d'encore meilleurs. Et après une récupération express, après un déchainement de violence sans nom, il était parti de nouveau sans lui adresser une parole. Mais là c'était trop, impossible qu'elle laisse de nouveau s'installer un status quo entre eux, qui lui faisait trop mal au cœur. Elle était bien trop têtue pour ça. Elle avait besoin de lui,  viscéralement et était persuadée que c'était réciproque... Qu'ils s'en soit rendu compte ou non. Et d'ailleurs, tant pis si elle avait tort !







Votre physique...

5 lignes minimum !



Lain est aussi blonde que son père biologique, c’est à dire très, très blonde (pas de mauvaises blagues Razz). Elle a aussi hérité de ses yeux bleus pâles, aux reflets presque métalliques. De sa mère, elle tient d’avantage les mimiques, la façon dont ses yeux se plissent, dont ses lèvres se pincent, l’expression de son visage lorsqu’elle s’ennuie, la manière dont elle soupire. Son corps est très délicat et sa gestuelle appliquée. Elle semble légère et fragile (Elle l’est, autant ne pas se voiler la face), mais elle n’est pas si petite que ça, et ses jambes sont aussi vertigineuses que celle de sa mère. Pas de poitrine imposante, mais suffisamment insolente couplée avec son absence de pudeur. Elle est aveugle, l’image des corps ne lui fait rien, le sien le premier. Elle ne s’habille pas de manière compliquée et la plupart du temps en noir et blanc (pour éviter les fautes de goûts).






Votre caractère...

10 lignes minimum !


Votre caractère :  Lain est réfléchie, par la force des choses. Quand elle veut quelque chose, elle prend le temps de penser au moyen le plus efficace l’obtenir. Parfois ce sera la franchise et parfois le mensonge, elle ne se refuse aucun des deux. La charnière de tout ça, c’est qu’elle n’est pas stupide et qu’elle analyse beaucoup. La jeune fille doit réfléchir a tout ce qui se passe autour d’elle. Dissocier les sons, les odeurs, les choses qu’elle touche, ce qui a forgé chez elle un esprit attentif et curieux. Elle développe des facilités incroyables et une ténacité presque compulsive lorsqu’un sujet l’intéresse, mais quand quelque chose ne la passionne pas, elle ne fait aucun effort. Il en va de même pour les gens, quand ils ne la passionnent pas, elle ne fait aucun effort. Donc… elle est bornée.

Si elle peut difficilement être spontanée quand elle n’a aucun repères, elle prend beaucoup d’assurance lorsqu’elle commence a se familiariser avec ce qui l’entoure. A la limite de l’insolence, et si elle a envie de dire à un gros dur que c'est un con... Soit. Lain veut profiter de la vie, éviter de perdre son temps et se forger une indépendance pour laquelle elle travaille jour après jour. Elle aime essayer de nouvelles choses, provoquer des réactions pour le simple plaisir de voir ce que ça donne. Quant au bien et au mal, c’est elle qui décide de ce qu’elle en pense en fonction de ses priorités.

Elle est consciente de ses faiblesses et fait de sa fragilité un leurre, qui lui laisse souvent le temps d'essayer de vous entuber. La potionniste a le sac bardé de matériel de dissection, de petites lames de rasoir, de pinces effilées et vos artères, messieurs dames, vibrent de manière aussi subtile, pour elle, qu’un vrombissement de faux bourdon… Lain n’a rien d’une force de frappe, mais c’est une sacré renarde. Si elle doit vous planter, ou écharper vos souvenirs, elle le fera.

Ce que vous aimez : L’indépendance, la liberté. Avoir le choix. Découvrir de nouvelles choses, explorer tout le potentiel de son don et des matières qui la passionnent (Bota/Runes/Potion…). Surprendre les gens, déduire, comprendre et ensuite agir. Voir ses plans se dérouler sans anicroches. Le violon, Folial. Les gens qui sortent de l’ordinaire et ceux qui osent. Toucher, sentir, entendre, oser. Les petites manies bizarres de Sile. Les fruits, d’une manière générale.

MàJ Fin Sept 2022 : Toute la complexité du caractère de Loff, même si c'est pas facile facile tous les jours (xD) Et son corps aussi, énormément. Faire en sorte qu'il se sente bien, le plus possible.

Ce que vous n'aimez pas : Ne pas avoir de repères dans l’espace. Les gens qui la traitent comme une handicapée et ceux qui la croient sourde, en plus d’être aveugle. Ne pas avoir le choix. Les crissements de craie ou de fourchette. Avoir les oreilles bouchées. Avoir les mains liées (C’est un peu une phobie). Les œufs, bizarrement.

MàJ Fin Sept 2022 : Sentir Loff malheureux. Et tous ces gens qui lui ont fait du mal.

Ce que vous souhaitez devenir plus tard : De préférence, la meilleure potionniste du monde. Peut-être de la sociologie, de la psychologie ou même de la politique. Elle aimerait bien, aussi, que la médecine sorcière lui fasse retrouver la vue.








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