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 Terry [La tête brûlée azimutée]

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Terry Liners
Gryffondor [7ème année]
Gryffondor [7ème année]
Terry Liners


Messages : 235
Date d'inscription : 20/10/2014
Localisation : T : Avec Sile. M : Dans une grosse tête blonde

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MessageSujet: Terry [La tête brûlée azimutée]   Terry [La tête brûlée azimutée] EmptyMer 22 Oct - 17:52


Présentation de Terry


Vous...



Nom :  Liners
Prénom :  Terrence (Qu’il déteste), William
Surnom :  Terry
Date de naissance :  27/04/2002 (20 ans)
Origine : Sang-pur
Nationalité : Britannique
Baguette : 26,9cm, en ébène, contient une écaille en poudre de noir des Hébrides.
Année : 7e (Il a passé 3 ans dans le coma, entre 17 et 20 ans)



Votre famille...



Votre père : William Liners. Procureur au Magenmagot, Lord Liners et ses ascendants jouissent d’une solide réputation de conservateurs, tout en n’ayant jamais commis l’erreur de se placer directement en porte à faux, par rapport au ministère. William est intelligent, calculateur mais charmant, charismatique et dénué de scrupules. Il cultive le mystère sur sa vie privée et veille à ce que les curieux le regrettent amèrement, avec la loi (et ses nombreuses failles parfaitement exploitables) de son côté. William est grand (Très grand) blond avec des yeux bleus perçants. Il voit l’existence sous l’angle d’un stratège. Ancien Serdaigle, il a fait fructifier la fortune familiale en remportant des affaires sulfureuses, tout en prenant soin d’édulcorer le tableau, par la prise en charge d’affaires de moindre importance. Les Dolls ? Rien qu'un passe droit pour détester les Moldus en plein jour, de manière plus légale. Ce qui a le plus d’importance dans sa vie, c’est Lila. Son épouse, malgré les quelques difficultés qu’il peut rencontrer, parfois, à allier la personnalité fauve et délétère de l’amour de sa vie, avec la société des sorciers.

Votre mère : Lila Liners, née Smith, considère qu’elle a eu la chance infinie de naître avec trois dons de l’univers. Son sang parfaitement pur, la beauté éthérée qui a fait succomber son mari et ce petit quelque chose de ténébreux, logé au creux de son âme. Un petit quelque chose qui enfle et se rétracte, insatiable comme un vortex et qui se nourrit de la peur d’autrui et de la violence. Soyons honnête, Lila est une femme qui subjugue autant qu’elle peut provoquer l’effroi. Elle est un bijou que William garde pour lui précieusement. Lila aime son époux, c’est d’ailleurs la seule personne pour qui elle semble éprouver un attachement profond (à sa façon), et elle lui est reconnaissante de la manière dont il veille à satisfaire ses besoins particulier, tout en la protégeant du monde extérieur. Sortie des chaudrons de Serpentard, Lila est une délicieuse création infernale qui se délecte de la révélation de la sorcellerie au grand jour. Beaucoup plus de morts pour le bien commun (soit disant). Tuer n'a jamais été aussi proche de la légalité et la capricieuse vipère s'en délecte.

Vos frères et sœurs : - Une petite soeur… Quelque part.
- Joshua Liners. Depuis peu, Terry a appris qu’il avait non seulement une soeur, mais aussi un frère, fruits des ébats sans âme de son père et de la sœur de sa mère.

Vos oncles et tantes : Line Amber-Smith (Voir sur la fiche de Josh.)

Vos grand-mères : (facultatif)

Vos grand-pères : (facultatif)  Terrence Liners. Le patriarche de la famille vit dans son propre domaine. Il garde un oeil lointain mais et critique, sur le cocon de son fils.

Autre : (facultatif)  Les Taraudeurs.
- Malesian. Son frère, son compagnon de jeu, sa malédiction. Il est la personnification de tout ce qui peut être refoulé par Terry.
- Tourmencelle. L'image de sa sœur qui le rassure et le protège.




Votre histoire...

20 lignes minimum !



Une enfance banale est le plus beau des cadeaux… Mais lorsqu’elle part en fumée dans les débris d’une voiture, la chute n’en est que plus dure.

De l’accident, Keane O’Leary gardait le souvenir déchirant d’un visage poupin de fillette, du sang goûtant sur la lèvre inférieure pâlie, inconsciente sur ses genoux. Il gardait aussi en mémoire les regards incompréhensifs de ses parents lorsque le volant s’était mis à braquer tout seul et les questions qui avaient suivies. Mais surtout, il avait conservé ce sombre sentiment de culpabilité qui ne le quittait pas. Ce jour là, il avait fait mal à sa petite sœur et, même s’il ne s’expliquait pas encore comment, c’était quelque chose qu’il n’oublierait jamais.

Cet accident avait marqué d’une croix blanche le jour de la fin de son enfance paisible. A peine s’était-il remis du choc, qu’une batterie d’inconnus à mallettes noires et à l’air maussade avait assiégé sa maison de Galway, lui apprenant sans patience que cette famille là en avait fini avec lui, et que ses parents l’attendaient. Il ne comprit pas tout de suite. Sa petite sœur était encore à l’hôpital, dans le coma et le défilé d’avocats qui lui jetaient à peine un regard le perturbait. En une semaine à peine, il s’était renfermé sur lui-même et n’adressait plus la parole à personne. Une autre semaine plus tard, il s’appelait Terrence Liners et cauchemardait chaque nuit dans un château au beau milieu des forêts du Weald.

Les vices de forme. C’était l’un des atouts que William gardait toujours dans ses manches de procureur renommé. Ces fatales petites failles étaient dissimulés partout, du contrat d’adoption invalide aux conditions de signature irrecevables, et il avait suffit de trouver un couple suffisamment crédule pour mettre en sûreté, loin de sa mortelle épouse, leurs deux enfants en bas âge… Tout en s’assurant de pouvoir les récupérer, quand l’envie ou le besoin se ferait sentir. Les avocats des Liners eurent gain de cause assez facilement et Terry fût aussitôt renvoyé chez eux.

Les évènements s'enchaînaient à une vitesse fulgurante et le petit garçon avait l’impression de se faire traîner derrière une voiture lancée à pleine vitesse, destinée à l’abîmer jusqu’à la corde. Trop d’informations, trop de changements… Et trop de culpabilité nichée au fond de lui. Il était un sorcier, irait l’année prochaine dans un collège qui enseignait les arts magiques et avant ça, on avait un an pour lui enseigner les rudiments de sa condition ici, au domaine Liners. Les manières, les moeurs de la famille et surtout… Surtout, à ne pas embêter cette femme qui ne lui renvoyait que de longs regards silencieux.

Lui ne pensait qu’a sa sœur…

On usa rapidement de sorcellerie pour tenter de supprimer de sa mémoire l’image de cette petite fille et de leurs parents adoptifs, ainsi que le souvenir de ses anciens noms et prénoms. Terry ne savait plus ce qui était réel et ce qui ne l’était pas. Les reliquats de souvenirs, d’elle surtout, oblitérés à la hache le hantaient, persistant en cauchemars dénués de visages et chaque nuit, l’enfant se réveillait trempé de sueur, désorienté et rongé par la culpabilité.

***

Les premiers mois, Terry avait tenté de s’enfuir du domaine à plusieurs reprises, manquant de s’empaler sur les grilles un nombre incalculable de fois… Toujours récupéré à quelques miles de là dans un piteux état.

Autour du domaine s’étendaient de nombreux hectares de la forêt sauvage du Weald et, du haut de ses 10 ans, il n’allait jamais bien loin. William augmenta la sécurité, fit doubler les protections magiques du domaine, ce qui n’empêcha pas Terry de tenter de passer outre, récoltant au passage quelques malédictions mineures, brûlures et blessures superficielles.

Son emploi du temps dans le domaine alternait entre apprentissage de la vie d’un lord et solitude totale. Terry n’avait quasiment aucun contact avec ses parents biologiques, hormis durant les repas, pendant lesquels il parlait peu, souvent désorienté, ailleurs... Sans avoir la moindre idée idée de qui pouvaient être réellement ces gens là, ni des projets qu’ils avaient pour lui.

Cette solitude, la culpabilité et sa désorientation constante le rendaient malade. Les cauchemars l’empêchaient de dormir, lui coupaient l’appétit et, par dessus le marché, Terry continuait à multiplier les tentatives d’évasion, buté, tête brûlée insoumise jusqu’au bout des ongles. Il n’avait rien à faire là, il devait partir, quand bien même il n’aurait aucun endroit pour vivre. Ici, tout était flou, sa mémoire, ces gens, tout n’était que secrets et terreurs dissimulées derrière un paraître élégant, hors de prix. Chaque parcelle de son être désirait être ailleurs, tant et si bien que son père fit déplacer ses appartements dans les sous sols, sans fenêtres, réduisant ses droits de sortie à peau de chagrin, sans doute lassé par son insubordination. Ou afin d’éviter que Lila ne décide d’intervenir.

Terry se sentait encore plus seul, multipliant les plaies dans sa psyché, usé à l’intérieur comme ne devrait jamais l’être un petit garçon et sans personne d’autre à qui parler que lui même. Mais un jour ils le rejoignirent... Pas ses parents, non non… Eux.

Il ne savait pas exactement à quel moment ils étaient arrivés au château, mais ils étaient là et leur présence semblait alléger tout le reste. Ils étaient deux et ils étaient bien là, seulement personne n’avait l’air de les voir ! Une petite fille aussi blonde que lui, aux yeux d’ambre et à l’air un peu boudeur qui s’appelait Tourmencelle, - Ma soeur. - et ce garçon étrange, au visage barré tantôt d’un sourire narquois, tantôt d’un rictus méprisant. Malesian - Mon frère... - le compagnon de jeux.

Mencie était droite, paisible et d’une constance infaillible quand à l’autre, il était plein d’astuce, fourbe et aussi déterminé à emmerder son monde qu’à mettre Terry au défi de tout et n’importe quoi. Leur présence empêchait le petit garçon malade de cauchemarder, il était trop fatigué par les défis incessants de Mals et apaisé par les histoires de Mencie, il ne rêvait même plus. On les nommait ses "amis imaginaires", lui préférait les appeler ses frères, ou ses "Taraudeurs".

Vie scolaire :

Le jour où il reçut la lettre de Poudlard fut le plus beau de toute sa vie. Terry fut emmené faire des courses par deux domestiques sous l’étroite surveillance des Taraudeurs qui, pour une fois, se passaient de commentaires. Cette première année sonnait comme une victoire de la liberté. D’accord il devait rentrer chez lui pour être surveillé à toutes les vacances, d’accord il passerait les deux mois d’été dans ses appartements sans lumière mais, pour la première fois depuis son son déménagement dans les basses-fosses du domaine Liners, il allait sortir du Weald pour découvrir d’autres horizons.

Le cerveau de Terry était plus stimulé que s’il avait été drogué aux psychotropes, en conséquence de quoi, Malesian se surpassait… Et la première semaine, Terry passa trois jours à l’infirmerie pour avoir voulu visiter l’une des serres en pleine nuit. Tourmencelle lui proposa de s’attacher à son lit, pour éviter de réitérer l’expérience et cela fonctionna… Pendant un temps. Mais les défis de son frère étaient devenus une véritable dépendance et les blessures ou la colère de Terry contre lui même, après coup, furent loin de suffire pour le dissuader.

Pourtant, lorsqu’"on" ne le dérangeait pas, Terry savait être un élève sérieux. Sa nature solitaire, sa curiosité et son besoin d’engranger des souvenirs nouveaux, le firent accéder sans trop de soucis (scolaire parce que la santé, ça…) aux années suivantes, malgré ses problèmes de comportement plus ou moins évidents.

***

Les vacances chez ses parents se déroulaient toujours de la même façon. On venait le chercher à la gare, le faisait transplaner dans une cabane de forestiers du Weald et, de là bas, un véhicule lui faisait traverser la forêt jusqu’au domaine Liners. Là bas, son père jaugeait de ses nouvelles connaissances magiques et le reste de son temps, Terry le passait enfermé dans ses appartements en sous-sol, à discuter avec lui même… A discuter avec eux, ponctuant la solitude de nombreuses tentatives de fuites infructueuses.

Terry se montrant de plus en plus insubordonné, lunatique et provocateur avec les années (et l’effet Malesian), Lila obtint de William le droit de s’occuper des punitions, avec pour seule règle au tableau, l’interdiction de tuer.

***

Les années qui suivirent furent en dents de scie, entre les défis de Malesian et leurs envies de liberté qui se rejoignaient, Terry pouvait être consciencieux et concentré ou bien complètement ingérable et perturbé. S’il renvoyait Malesian, les cauchemars revenaient comme une punition et lorsqu’il était là, Terry cultivait un sentiment d’efficacité et d’impunité qui lui plaisait. Les choses graves n’étaient jamais vraiment de sa faute, c’était lui, Malesian, qui assumait tout ce que son frère n’aurait pas voulu faire, ou pas osé faire. Mais le grand Taraudeur devenait exigeant et les deux frères ne cessaient de se contrarier, pour un refus, pour un défi... Mais Terry finissait presque toujours par céder.

[Évolution post RP I]

Une fois, une unique fois il décida de ne pas céder. Pour tenter de préserver la seule personne qui ne le regardait pas comme un fou. Lain ne le regardait pas comme tout le monde, elle regardait du bout des doigts. Aveugle, objective, curieuse et franche. D'une franchise qui vous faisait trembler jusqu'au cœur... Mais il faudrait bien payer pour ça et ainsi, il céda au défi de trop. Un défi qui l'amena dans le cimetière une nuit, à la rencontre d'une petite, si petite jeune femme, dotée de si grands pouvoirs. Bien assez pour s'insinuer dans sa tête, dans l'antre des Taraudeurs, afin d'y rencontrer le plus grand capricieux de Laniakea... Et d'en devenir l'obsession.

Un si grand potentiel ne pouvait être passif. Elle n'avait pas le droit de gâcher toute la frénésie que Malesian imaginait pour elle. Kallista pouvait être une reine, elle se devait d'en être une à la hauteur de ses pouvoirs. A la hauteur des exigences du Taraudeur. Tory fut obligée d'intervenir, mais la machine était lancée et Malesian, se montrait plus tyrannique et véhément à chaque opposition. Il prendrait le dessus, annihilerait tout sur son passage pour retrouver sa sublime addiction. Ferait revenir les cauchemars. Ferait du mal à Lain...

Et soudain... Tout s'éteignit. Terry enferma sa psyché et tous ses occupant, dans un sommeil noir, sans rêves et sans souffrance, espérant ne plus jamais revenir. Hélas, son cœur avait continué à battre. Et trois années plus tard, ses paupières se rouvrirent.

[Évolution post RP I]

Son réveil avait été la toute première mauvaise nouvelle de son renouveau. Il avait voulu mourir et comme beaucoup d'autres choses qu'il avait tentées pour mettre un terme aux délires de Malesian, autant que de sa famille, il avait échoué. La seconde mauvaise nouvelle arriva dans la foulée. Deux autres personnes risquaient de pâtir de lui, de sa famille et de ses agissements. Sa sœur, toujours vivante, quelque part, s'il ne se montrait pas docile et son demi-frère, qui ne tarda pas à se montrer.

[Évolution post RP II]

Il ne fallut pas longtemps, avant que Josh ne comprenne le sens du mot trahison, de la part de son frère le plus brun. Qui ne se considérait pas du tout comme son frère d'ailleurs. Malesian, enragé par trois ans de silence comptait bien montrer au monde qu'il était de retour, et ce n'était pas l'autre tapette maigrichonne qui allait l'en empêcher, quel que soit la punition qu'il infligerait au corps de Terry.

[Évolution post RP IIII]

...







Votre physique...

5 lignes minimum !



Terry est grand, très grand, c’est un trait de famille. Il est aussi blond, très blond, ses cheveux sont presque blancs, comme son père avec les yeux ambrés de sa mère. Ce qui est malheureux, pour lui, c’est qu’on ne peut pas lui retirer sa parenté, il ressemble énormément à William et ses prunelles dorées sont, elles aussi, beaucoup trop caractéristiques pour que l’on puisse douter de ses gênes. Terry est plein de cicatrices, qui résultent de ses escapades avec Mals et possède la musculature d’un jeune homme qui ne tient pas en place. Ses fringues sont d’excellente qualité, mais souvent abîmées ou froissées. Il n’y fait pas attention, comme à tout ce qui lui vient de ses parents. Son visage exprime souvent la mélancolie, la lassitude ou l’égarement. En pleine lumière, il a souvent les yeux plissés, habitué à la pénombre qui a fragilisé sa cornée.

Mals est son opposé, brun, avec des yeux couleur de marais sans fond, le regard toujours vénéneux, funeste ou cynique. Il est beaucoup moins chiffonné que son frère et physiquement dénué de tous les outrages de la réalité. Nulle cicatrices, pas une seule blessure apparente, ses traits sont d’une insolente perfection, faveur de son impalpable irréalité. Quant à Mencie, elle est à l’image de Terry, blonde avec de grands yeux d’or, le visage calme, parfois un peu enfantin, presque comme un esprit flottant.









Votre caractère...

10 lignes minimum !



Votre caractère :  Terry est quelqu’un de farouche. Sa jeunesse perturbée a fait de lui un jeune homme lunatique, guidé par les conseils de ses "complices" à qui il parle souvent, librement et parfois en public. Il aimerait faire confiance aux gens mais n’y parvient que rarement et, la plupart du temps, préfère se tourner vers les Taraudeurs. Il a un bon fond, un sens de l’honneur gâché par ses addictions et ses lubies. Il essaie de préserver les autres, quand il en a la force mais sombre facilement dans les travers de Malesian, il a besoin de lui, viscéralement, même s’il ne l’assume pas toujours.

Terry est effrayé à l’idée de perdre la mémoire, encore. Il engrange des souvenirs palpables dans des recoins secrets, comme il aime emmagasiner des images et même des connaissances. Ce n’est pas une vraie soif d’apprendre mais plutôt son besoin constant de repères et cela lui permet aussi de satisfaire les Taraudeurs, en terme d’efficacité. Tous deux réprouvent la bêtise, à leur manière. Malesian la méprise et Mencie s’en méfie.

L’insoumission de Terry vient de lui seul. Avant même l’apparition de Malesian, l’adolescent semblait incapable d’accepter ou de faire des concessions face à certaines choses, comme ses parents biologiques. C’est une forme de témérité incontrôlable, que Mals ne fait qu’exacerber en lui quand ça le chante. Quand il est comme ça, la stratégie bat de l’aile et il serait sans doute capable de se jeter au feu, s’il avait une chance d’y emporter ses parents. Il pourrait faire de même pour protéger ceux auxquels il tient, mais Malesian interfère la plupart du temps dans ses relations sociales, à divers degrés.

Mals : Aaah comment dire. Celui là a quelque chose de théâtral. C’est une question d’ego. Pas la peine de se poser la question, Mals est plus intelligent, plus beau que vous et il en a assurément une plus grosse. L’assurance, la confiance, le cynisme… Mals aime s’amuser au dépend des autres. Il prend quand il en a envie. Il aime qu’on l’écoute et qu’on obéisse. La domination est son jeu favori. Les psychologues appellent ça un pervers narcissique, à ceci près qu’il le sait, quel intérêt de se voiler la face alors qu’il est bien plus drôle d’être conscient de ses actes, de ses vices... Et de les sublimer. Les faibles, les friables, les crédules... Les gens sans grandeur lui filent des bouffées de haine et ceux qui s’opposent à lui provoquent sa colère… Mais aussi son intérêt. Il veut les prendre en main et les briser. Il se moque du monde, car le monde le mérite. Les humains sont tristes, sans autre intérêt que la distraction éphémère qu’ils procurent. Il aime voir son frère leur faire mal quand il le lui ordonne, mais désirerait plus que tout pouvoir le faire lui même. Son frère est rétif, il ne veux pas faire tout le mal qu’il aimerait leur faire à tous et ça, Malesian en crève. Il veut être palpable. Il le désire plus que tout.

Mencie : Ce spectre de droiture est de moins en moins influent au fil des années. Cela parce que Terry voit essentiellement par son frère. Pourtant, Tourmencelle est raisonnable et intelligente. Elle est celle qui juge durement et qu’on écoute peu, celle qui sauve la mise, quand la psyché se craquelle et menace de partir en morceaux.

Ce qu’ils aiment : Mencie ne se considère pas comme existante, elle ne cultive pas d’envies ou de préférences, en dehors de vouloir aider Terry à survivre.

Terry aime se forger des souvenirs, découvrir de nouvelles choses et de nouvelles personnes. Il aime voir les gens venir vers lui, même s’il finit par les repousser. Il aime sa fratrie, irréelle ou non. Il aime l’eau, nager, flotter en fait, ça lui donne l’impression de ne plus sentir le poids du monde sur ses épaules. Il aime la liberté, probablement parce qu’il en a peu. Il aime le sport, bouger, se dépenser et par dessus tout, il en a besoin pour évacuer. Il aime le souvenir qu’il a de Lain… Depuis cette rencontre au théâtre, raison de plus pour la garder loin de lui, ce qu’il a beaucoup de mal à faire.

Mals s’aime beaucoup. Il s’aime énormément. Il aime aussi avoir le contrôle sur les choses. Il aime jouer, il aime corrompre les esprits et il aime… Il aime ce poison de vampire qui dévore tout ce qu’il peut avoir d’âme. Il aime la mettre à mal et la voir résister. Il aime ses colères dévastatrices et il aime la haine qu’il ressent quand elle le provoque. Il aime qu’elle l’aime jusqu’à s’en détruire. Il l’aime, c’est tout, il l’aime à vouloir l’en faire crever.

Ce qu’ils n’aiment pas :  Mencie ne se considère pas comme existante, elle ne cultive pas d’envies ou de préférences, en dehors de vouloir aider Terry à survivre.(bis)

Terry n’aime pas ses parents, il n’aime pas tomber par mégarde sur des morceaux de souvenirs qui lui font un mal de chien. Il n’aime pas comprendre à quel point il est abîmé mentalement et n’aime pas non plus assumer certains de ses actes, alors qu’il en a le courage pour d’autres. Il n’aime pas son ambivalence, préférerait disparaître parfois, plutôt que de continuer à être comme il est. Il ne s’aime pas beaucoup. Il n’aime pas non plus faire mal aux gens qui ne le méritent pas.

Mals déteste son statut actuel de part d’âme. C’est ce qu’il déteste le plus au monde. Il n’aime pas les faiblesses de son frère, n’aime pas qu’il soit blond et qu’il lui dise non. Il n’aime pas que ce soit Terry qui ait écopé du corps (Vie de merde). Il n’aime pas le mot aimer, ça n’a pas de sens et loin d’avoir assez de force. Il n’aime pas les pauvres tâches qui constituent 99% de la race humaine.

Ce que vous souhaitez devenir plus tard :  Pour l’instant. Terry aimerait se débarrasser de ses parents, ce qui ferait de lui un solide rentier complètement azimuté. Peut-être qu’il se fera soigner un jour et qu’il envisagera l’avenir, mais ce n’est pas encore le cas. Peut-être qu'il pensera aux Dolls quand Malesian arrêtera de le saccager de l'intérieur, mais ce n'est pas encore le cas...

Mals veut prendre le corps de son frère, virer ces cheveux blonds de tapette et vivre enfin ! Pas exister, bien entendu. Il existe déjà voyons...







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